Aketi, anciennement Aketi Port-Chaltin, est un territoire et une localité de la province Orientale en République démocratique du Congo
Film au lac Baringo
A 280 km au Nord-Ouest de Nairobi et à 40 km au Nord de Bogoria, le lac d'eau douce de Baringo s'étend sur 168 km² et atteint 12 m de profondeur maximum.
1-- Pélicans-Crocodiles-Marabouts-Danse
Film au lac Baringo
2-- Danse-Pélicans-Crocodiles-Marabouts
Animaux
1- Ombre sur le Congo-
2- Ombre sur le Congo-
3- Ombre sur le Congo
4- Ombre sur le Congo
5- Ombre sur le Congo
6- Ombre sur le Congo
7- Ombre sur le Congo
Mai-ya-moto ou l'eau de feu,
Egalement connu sous le
nom de moto de ja de Maji, est un champ hydro thermique d'isolement dans les
sud de parc national d'Albert du lac Edouard. Le secteur thermique est situé à
une altitude de
la Ruindi dans le parc national des Virunga, le Parc National rwandais et le reste, soit
8.000 km², forma le Parc National des Virunga ex parc national Albert
Pays : DR Congo
Nom De Subrégion : L'Afrique centrale
Type De Volcan : Champ de fumerolle
Altitude De Sommet : 950 m
La famille Wautier et la famille Mommen Lambert et Flora et leur fille Christiane en visite au parc national Albert à la Ruindi.
Chikwangue, aubergines et piments
Quelques endroits parmi d’autres où nous passions de petites vacances d’une semaine au Congo.
1956 Murchison Falls (Nil Blanc) National Park Ouganda.
Au Murchison il y avait le choix pour loger, soit à l'hôtel ou en tentes…
Au Murchison il y avait le choix pour loger, soit à l'hôtel ou en tentes…
Le premier explorateur européen à atteindre les chutes fut Sir Samuel Baker en 1864, qui les nomma Murchison Falls en l'honneur de Sir Roderick Murchison .
La chute d’eau, d’une blancheur éblouissante, formait un magnifique
contraste avec les noirs rochers qui encaissent le fleuve, tandis que
les palmiers gracieux des tropiques et les plantains sauvages ajoutaient
de nouveaux charmes au paysage.
C’est là certainement la plus grande chute du Nil.
C’est là certainement la plus grande chute du Nil.
Mme Houbion à l'entrée de sa tente
8- Ombre sur le Congo
Nos parents, aventuriers au plus profond de leur âme, optèrent pour la deuxième solution. Une tente pour eux et une pour mon frère et moi.
(A chacun ses appartements …)
Une nuit, ma mère fut réveillée par un bruit de froissements de papiers très proche d'elle. Sortant des bras de Morphée elle dit à mon père: -NICOLAS! Arrête de fouiller dans le sac et de manger les bonbons des gamins!!! Papa, réveillé en sursaut, lui répondit péniblement:-Mais je ne fait rien? JE DORS!!!
Maman, intriguée, pris sa lampe torche et l'alluma….. ÔÔÔhhh STUPEUR ÎÎÎHHHH QUELLE HORREUR!!!!!
Une grosse tête d'hyène apparut à a peine 10cm de son visage…..
Heureusement, le cri strident de ma mère dans la nuit fit fuir l'animal affamé qui prit "ses deux pattes à son cou" et ne demanda pas son reste…
Morale de l'histoire… La loi du plus fort est toujours la meilleure.
Sur le trajet qui menait vers l’hôtel des Murchison nous croisons un magnifique éléphant solitaire
bien installé au milieu de la route. Mon père, intéressé, s’arrête et nous descendons de la voiture pour admirer le superbe mastodonte.
Moi, enfant innocent et curieux de tout, j'avais remarqué que, bizarrement, cette bête possédait 5 pattes !?
Mes parents ne purent retenir de s'éclater de rire, ce qui me poussa à les interroger un peu plus…. Ma mère, après avoir repris son sérieux, m'expliqua comme elle pu: Ecoute Gaby, L'éléphant que tu vois est un vieux mâle solitaire…donc…la cinquième patte que tu vois...c’est son sexe… J'étais subjugué par la grandeur de la chôôôse… Son membre impressionnant touchait le sol, il y avait donc de quoi le confondre avec une patte!!!
La demi-heure écoulée, l'animal nous bloquait toujours le passage. Mon père, qui commençait à s'énerver, se mis à klaxonner tant et plus. Dérangé dans son contexte naturel, furieux, le pachyderme souleva énergiquement sa trompe souple en barrissant bruyamment et nous chargea provoquant un nuage de poussière rouge. Nous n'avons jamais été aussi vite pour regagner la voiture, en marche arrière plus que rapide sur plusieurs mètres et avec une grosse frayeur assurée. Comme nous étions très en recul, le mammifère se décida enfin à quitter l'endroit, chemin faisant, et s'éloigna sur ses grosses pattes lourdes. Mon père, profitant de cette opportunité, se décida à poursuivre notre parcours, à fond la caisse, tout en s'assurant du regard que nous n'encourions plus aucuns en dangers.
1- Sur le Nil Blanc vers la chute Murchison Falls
Autre histoire de Pol Jacob
Mes parents de décident d'aller passer quelques journées aux Murchison Falls en Ouganda. Comme nous habitions alors ARU, le trajet était assez court…!
Papa musardait donc, râlait un peu à cause de ces "foutus Anglais" et leur conduite à gauche…! Ce qui n'empêchait pas que nous ayons parfois quelques frayeurs lorsque nous croisions certains véhicules sur la piste…!
Arrivés dans la plaine, à un moment donné, Papa aperçu un troupeau de buffles à +/- 150m de la piste et il s'arrêta! Il sorti de la voiture et contempla le beau spectacle. Les bovidés, couchés sous un arbre, ruminaient à leur aise… Après quelques minutes d'observation, ne voilà-t-il pas que, le Bwana mukubwa JACOB, se prenant soudainement pour un fier et intrépide torero (sans doute avait il en tête cette chanson: "Dans mon pays d'Espagne… OLE!"), et commence à faire de grands gestes tout en hurlant à l'adresse des animaux pourtant bien sereins! Bien sûr, les buffles relevèrent tous la tête et considérèrent "placidement" l'hurluberlu qui se désarticulait comme un pantin à quelques mètres de distance..! Le pater s'excitait de plus en plus belle car aucuns de ces ruminants ne se décidaient à se lever…! N'y tenant plus il fit semblant d'armer un fusil en criant très fort <-pan>
Mais même chez les animaux, la patience a des limites tout de même!
Comme s'ils savaient ce que cela signifiait, les buffles se levèrent tous en même temps…!-pan>
Papa triomphe… Il avait réussi!!!… Mais les puissants ruminants, plutôt que de fuir, dans un même élan, piétinant et soulevant la terre, chargèrent vers papa et
notre automobile…!
Quelle horreur!!! Maman criait, paniquée… Quand à mon cher père, je ne vous dis pas dans quelle la course effrénée il déguerpit, tel Speedy Gonzalès, s'empressant de nous rejoindre au plus vite, plongea derrière le volant (avec une agilité que je ne lui connaissais pas), et démarra sur les "pipettes" et "s'envole la bagnole" à du 80/100KMh……!!! Un véritable champion de rallye!!!!
Cette anecdote nous a toujours fait bien rire pendant des dizaines d'années… Sauf papa… qui a "ramassé" l'engueulade de la décennie de la part de maman…! Trop zélé le colon…
2- Sur le Nil Blanc vers la chute Murchison Falls
Vue du haut vers le bas de la chute Murchison Falls
Le haut de la chute avec le pont qui passe d'une rive à l'autre
Le haut de la chute
Le haut de la chute
Le haut de la chute
Le haut de la chute avec le pont qui passe d'une rive à l'autre
Le haut de la chute
Sur les rives du Nil Blanc --Murchison Falls
Croco sous la chute
Le Nil blanc sous la chute
chute Murchison Falls
chute Murchison Falls
Sur les rives du Nil Blanc --Murchison Falls
Les Rahier apres un bain au dessus de la chute
Bateau pour la visite de la chute
Bateau et chute Murchison Falls
Chute Murchison Falls
Chute Murchison Falls
Parc national Murchison Falls
Parc de GARAMBA-
Valeur universelle exceptionnelle
Brève synthèseComprenant d'immenses savanes herbeuses ou boisées entrecoupées de forêts-galeries et de dépressions marécageuses, le Parc national de la Garamba se situe au nord-est de la République Démocratique du Congo (RDC) dans la zone de transition entre les forêts denses humides du bassin du Congo et les savanes guinéo-soudaniennes. Il abrite la dernière population mondiale du rhinocéros blanc du nord, une sous-espèce endémique de girafe congolaise et une population d’éléphants mélangeant éléphants de forêt, éléphants de savane et des individus montrant des caractéristiques morphologiques communes aux deux sous-espèces. Il se caractérise aussi par une biomasse exceptionnellement élevée de grands herbivores grâce à la productivité végétale du milieu. Couvrant 490 000 ha et entouré de 752 700 ha de trois domaines de chasse qui contribuent à une protection efficace du bien contre les menaces provenant de la zone environnante, ce bien est un sanctuaire exceptionnel de par son mélange inhabituel de grande faune spectaculaire.
Critère (vii) : Le Parc national de la Garamba et ses domaines de chasse avoisinants offrent une vaste étendue parsemée d’un réseau dense de petites sources permanentes qui soutiennent une productivité végétale et une biomasse d’herbivores exceptionnellement élevées. Cette biomasse se traduit par exemple par la présence d’importants attroupements d’éléphants à certaines périodes de l’année, parfois dans des troupeaux de plus de 500 individus, phénomène naturel exceptionnel.
Critère (x) : Le Parc national de la Garamba abrite les quatre plus grands mammifères terrestres du monde, soit l’éléphant, le rhinocéros, la girafe et l’hippopotame. La population de rhinocéros blanc du nord est la dernière population survivante de cette sous-espèce. De plus, la sous-espèce de la girafe congolaise est également endémique au parc. Situé dans la zone de transition entre les centres d’endémisme guinéo-congolien et guinéo-soudanien, le parc et les domaines de chasse avoisinants abritent une biodiversité particulièrement intéressante avec des espèces typiques des deux zones biogéographiques. Outre le rhinocéros et la girafe, les espèces purement savanicoles incluent le lion, la hyène tachetée, et de nombreuses espèces d’antilopes. Par ailleurs, les espèces typiques de la forêt dense comprennent le bongo, l’hylochère, le chimpanzé, et cinq espèces de petits primates diurnes. Le parc fait aussi parti des rares endroits en Afrique où l’on rencontre à la fois l’éléphant de forêt Loxodonta africana cyclotis et l’éléphant de savane Loxodonta africana africana, ainsi que des éléphants présentant des caractéristiques morphologiques communes aux deux sous-espèces. Une population très importante du buffle africain montre également des formes intermédiaires entre le buffle de forêt Syncerus caffer nanus et le buffle de savane Syncerus caffer aequinoctialis.
Intégrité
Le Parc national de la Garamba est délimité à l’est, au sud et à l’ouest par des cours d’eau importants qui constituent des limites naturelles précises et connues de tous. Au nord, il partage ses limites avec le Lantoto National Park du Soudan du Sud, offrant d’intéressantes possibilités de protection à l’échelle transfrontalière et régionale. Dans un paysage vierge, aucune présence ou installation humaine n’était signalée dans le parc au moment de l’inscription et la population en périphérie était faible. Le Parc national de la Garamba est entouré de trois grands domaines de chasses contigus, constituant un écosystème d’une superficie suffisamment étendue (1 242 700 ha) pour soutenir des populations importantes de grands mammifères avec leurs schémas de migrations locales saisonnières. Les domaines de chasse contribuent à une protection efficace du bien contre les menaces provenant de la zone environnante. Leur valeur est primordiale, particulièrement pour les mouvements saisonniers des éléphants et pour le maintien des populations viables des espèces forestières.
Eléments requis en matière de protection et de gestion
Le Parc national de la Garamba a un statut de Parc national depuis 1938, et l’autorité de gestion en est l’Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN). Il est géré à travers les trois secteurs administratifs de Nagero, Gangala na Bodio et Beredwa à la limite nord, chacun ayant une infrastructure immobilière et routière. La mise en place d’un plan de gestion est une condition indispensable à la gestion du parc. Etant donné l’importance des domaines de chasse pour l’intégrité du bien, ceux-ci doivent bénéficier d’une gestion intégrée avec le parc.
Il est essentiel que l’intégration des communautés locales dans la gestion du parc et des domaines de chasse périphériques, à travers l’approche de la conservation communautaire, soit mise en place par le biais d’une gestion participative des ressources naturelles.
La surveillance est assurée par les gardes au moyen de patrouilles dans les trois domaines de chasse ainsi que dans le parc, en liaison avec des survols réguliers de toutes ces zones. L’aspect touristique y avait été développé et la possibilité, unique en Afrique, d’un tourisme à dos d’éléphant y existait ; cette activité pourra être reprise lorsque la situation sécuritaire sera plus stable.
Le partenariat avec les organismes internationaux et la recherche de fonds suffisants pour une conservation efficace du bien doivent aussi être renforcés, y compris idéalement par la création d’un Fonds fiduciaire.
Mamba noir
Mamba noir
L'antilope-gazelle-dik-dik-l'impala et le gnou...
Le serval
Eléphants - rhinoceros - hippopotames - buffles
Gangala na Bodio - La colline du chef
Gangala-na-bodio était une station de domestication situé près de Faradje dans l'actuelle République démocratique du Congo . Le projet belge à Kira Vunga, Api et Gangala était la première tentative à domestiquer les éléphants d'Afrique pour le travail.
Animaux
Dortoire
Bain des éléphants
Dortoire
Epulu réserve à okapis
Encephalartos
ituriensis / Ituri Forest Cycad
Hyemoschus aquaticus / Water Chevrotain
Loxodonta africana / African Elephant
Neotragus batesi / Bates' Pygmy Antelope
Okapia johnstoni / Okapi
Les okapis
Découvert au début du XXème siècle, l’okapi, à l’origine classé parmi les équidés, appartient en réalité à la même famille que la girafe : les giraffidés. Des études morphologiques approfondies ont en effet permis aux scientifiques de mettre en évidence ce lien de parenté.
Contrairement à la girafe, l'okapi vit de manière solitaire. Mâles et femelles ne se rencontrent qu’au cours de la saison de reproduction. Les petits voient le jour après une gestation d'une quinzaine de mois. Ils sont alors capables de téter après seulement 20 minutes et prêts à suivre leur mère deux jours plus tard. Ils passent ensuite les deux premiers mois de leur vie dans un nid, caché au milieu de la végétation. Ce comportement permet de diminuer tout risque de prédation mais également d'économiser au maximum l'énergie assimilée grâce au lait de la mère. Le sevrage a lieu autour du 6ème mois.
Vers page 27- http://lesnegresblancs.blogspot.be/p/27.html
Vers humour- http://lesnegresblancs.blogspot.be/p/1a.html
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